Michel Cochet succède à Jean Gilbert à la présidence de Fibois Auvergne-Rhône-Alpes
Le 14 juin dernier, Fibois Auvergne-Rhône-Alpes s’est réunie en assemblée générale dans le cadre du salon EUROBOIS à Lyon-Eurexpo.
Lors de celle-ci, les différents collèges ont procédé au renouvellement du conseil d’administration, lequel s’est réuni pour élire son bureau, pour un mandat de 2 ans renouvelable.
Michel Cochet, président du groupe Bois du Dauphiné et Alpes Énergie Bois, a été élu président de Fibois Auvergne-Rhône-Alpes. Il succède à Jean Gilbert, élu en 2017 pour accompagner la fusion des interprofessions régionales Fibra et Auvergne-Promobois, qui souhaitait passer la main, après 3 mandats successifs en tant que président de l’interprofession AuRA.
Michel Cochet connaît bien l’interprofession puisqu’il en était le vice-président et qu’il suivait les travaux des interprofessions de l’Isère et de Rhône-Alpes depuis de nombreuses années. Il sera accompagné de :
• Anne-Marie Bareau, présidente du CNPF, renouvelée au poste de vice-présidente ;
• Frédéric Blanc, gérant de Scierie Blanc (26) et représentant la FNB AuRA, renouvelé au poste de vice-président ;
• Norbert Héritier, Les Menuiserie Philibert (01) et représentant Fibois 01 au poste de vice-président ;
• Jean-Pierre Vernadat, merrandier et gérant de SNBA (03), représentant les entreprises de l’Allier, renouvelé au poste de trésorier ;
• Benoit Rachez, directeur adjoint d’Unisylva et représentant les coopératives forestières, renouvelé au poste de secrétaire ;
• Cédric Gardoni, Agri Services Environnement (01) et représentant Chaleur Bois Qualité + au poste de secrétaire adjoint ;
• Gaël Perché, gérant de ARTSCOP BOIS (38) et représentant SCOP BTP au poste de trésorier adjoint ;
Cette assemblée générale a permis de rappeler les différents enjeux, perspectives et évolutions de la filière forêt-bois en Auvergne-Rhône-Alpes. Notons que 2021 a été une année de forte demande de bois en France et une période très favorable pour les forestiers et les entreprises de 1ere et 2e transformation. Le conflit russo-ukrainien et la flambée du prix des énergies laissent en revanche planer beaucoup de doutes pour le semestre à venir.